(ANSA) - AOSTE, 19 DIC - En répondant à une question du
groupe de Rassemblement Valdôtain, le Président de la Région,
Renzo Testolin a assuré que "le Sommet Grand Continent en Vallée
d'Aoste a acquis en seulement deux ans une excellente
visibilité, attirant l'attention des journaux italiens et
internationaux, parmi lesquels le Corriere della Sera, El Pais,
Financial Times, The Guardian. C'était le défi partagé avec le
Groupe d'études géopolitiques et, par ailleurs, l'événement
bénéficie du haut patronage des Présidents Macron et Mattarella,
ainsi que du soutien de l'Unesco et de l'Ocde. Seules les crises
gouvernementales imprévisibles en cours en France et en
Allemagne ont réduit au dernier moment le nombre et l'importance
des participants. Le Sommet a donc des perspectives et des
objectifs qui dépassent le bilatéralisme italien et français,
voire la dimension européenne elle-même. Par contre, le Traité
du Quirinal reste le cadre dans lequel la Vallée d'Aoste
s'inscrit naturellement pour développer ses relations, soit dans
un contexte plus strictement transfrontalier soit avec les
institutions françaises: certainement les relations nouées grâce
au Sommet peuvent être utiles aussi pour développer de nouvelles
initiatives dans ces domaines". "Le choix d'expérimenter
l'utilisation d'une partie de la Maison du Val d'Aoste par le
Groupe d'études géopolitiques - a ajouté le Président - répond
d'une part à la volonté de consolider davantage la relation avec
la Vallée d'Aoste et d'autre part répond exactement à l'idée de
développer des synergies pour l'organisation d'initiatives de
promotion de la Vallée d'Aoste à Paris, toujours étant entendu
que la Maison du Val d'Aoste reste à la disposition de la
Région. Dans le cadre de l'accord avec le Groupe d'études
géopolitiques, les Assesseurs régionaux ont récemment été
invités à proposer des évènements à organiser à la Maison du Val
d'Aoste, qui pourront promouvoir notre Région à Paris et dans
tout le panorama francophone international. Les travaux en cours
sont essentiellement les travaux ordinaires qui deviennent
nécessaires après cinq ans de fermeture des locaux, à savoir
l'enlèvement des matériaux qui ne sont plus nécessaires, le
nettoyage et la peinture et enfin les contrôles et l'éventuel
aménagement des équipements des locaux". (ANSA).
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